Conçu comme un dyptique, l'album est traité comme une oeuvre d'art pop. La longue liste des références visibles englobent notamment Warhol (comme toujours....), mais aussi Orlan, Vanessa Beecroft, Olaf Breuning, Matthew Barney ou Jean-Pierre Raynaud.... Le "Great Big White World" d'ouverture permet de s'immiscer dans la perspective aseptisée de la maison monacale de l'artiste français. Vouée à l'auto-destruction, les deux oeuvres se moirent dans leur décadence contenue.
Si le "Rock est mort" avec cet album, il est mort heureux....

Jean-Pierre Raynaud :

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