samedi 14 juin 2008

Deroubaix : fear, emptiness, despair.

Comme une évidence.... En tombant sur le Sacrifice de Motörhead, c'est toute l'oeuvre de Damien Deroubaix qui défile en moins de 4 min : sexe, guerre, mort, religion. Le problème est : le travail d'un artiste peut-il se résumer à un clip de "rock" (sans même parler de la pertinence du groupe de Lemmy.... qui mérite au moins le respect dû à sa carrière) ? Assurément pas. Et c'est là que le (très) bas blesse. Malheureusement, les aquarelles de Deroubaix n'arrivent même pas à la hauteur des (excellents) groupes qu'il cite (Carcass, Napalm Death, Obituary....). Il réussit néanmoins l'exploit d'associer le vide théorique, le creux artistique, la facilité conceptuelle la plus éminemment honteuse et le cautionnement du marché et d'une partie de l'intellegentsia artistique (mais qu'est-il arrivé à Artpress ? Victime d'une malédiction vaudou ?....). Mieux vaut s'arrêter là.... Car si l'on voulait devenir vraiment blessant, on vous dirait de cliquer sur le lien suivant Damien Deroubaix.... mais on ne le fera pas.


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