Quand l'enfant martyrisé par les poulets rencontre l'enfant terrible martyrisant la peinture cela donne un clip forcément empli de terribilità. Le mysticisme sacrilège de Buckethead ne pouvait que s'incarner à merveille dans la fougue et le jeu décalé de Hieronymus Bosch. A plus de 5 siècles d'intervalle, c'est toujours cool de tomber sur un membre de la famille....
Jardin des délices vs. Spokes on the wheel of torment :
mardi 21 juillet 2009
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1 commentaire:
Buckethead est excellent, un peu trop prolifique peut être mais on ne va pas s'en plaindre...
A écouter : son morceau hommage à Michael Jackson dont il était fan
http://bucketheadland.com/
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